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vendredi 16 février 2024

Pour un autre partenariat entre la France et l’Afrique

Rebelote ! Après Mitterrand l’Africain ?, ouvrage dans lequel il s’est penché sur la relation complexe entre l’ancien président français François Mitterrand et le continent africain et analysé son rôle dans la politique africaine de la France, ainsi que ses actions et ses décisions ayant influencé les relations franco-africaines pendant son mandat présidentiel, Gaspard-Hubert Lonsi Koko récidive. Dans Autopsie de la présence français en Afrique, il tente de faire le bilan circonstancié en vue d’une perspective intéressante sur les dynamiques qui pourraient façonner un partenariat sur de nouvelles bases entre la France et l’Afrique.

Un diagnostic sans concession

Dans cet ouvrage, il est surtout question d’un examen critique de l’histoire et de l’impact négatif de l’influence française sur le développement des pays africains. Sur une évaluation des conséquences sociales, économiques, politiques et culturelles d’une politique sclérosante pour les sociétés africaines, cette excellente analyse fustige la politique néocolonialiste et l’exploitation économique. L’auteur n’oublie pas non plus de pointer du doigt la complicité de certains dirigeants africains, dont le défaut de vision panafricaniste a consolidé la domination française, dans « pré carré » et au-delà, au détriment du bonheur des populations africaines.
Sur l’évaluation des conséquences sociales de la colonisation, les divisions ethniques et religieuses artificielles, ainsi que les politiques discriminatoires et les traumatismes historiques, Gaspard-Hubert Lonsi Koko évoque la résistance et les mouvements de libération comme exemple à suivre en vue de la souveraineté effective du continent africain. Ainsi suggère-t-il que, du point de vue culturel, les populations africaines se réapproprient hic et nunc l’héritage ancestral sans pour autant sombrer dans le solipsisme. De plus, notamment sur les plans technologique et médical, quelques acquis de la période post-coloniale méritent d’être préservés et revitalisés.

Les perspectives

Cet essai articule une vision à la fois géopolitique et géostratégique. Il est question d’une réflexion critique sur les différents aspects évoqués supra dans le but de mieux comprendre les dynamiques historiques et contemporaines qui, de nos jours, façonnent les sociétés africaines. Il s’agit également, dans cet ouvrage, d’une compréhension approfondie des interactions historiques entre la France et l’Afrique. Une telle analyse ne pourra qu’éclairer les sociétés africaines sur les opportunités en cours et à venir. Tout justement, à propos des perspectives d’avenir s’agissant des relations futures entre la France et l’Afrique, plusieurs tendances et défis sont à prendre en considération. Nombreux sont en effet les défis à relever. Ceux-ci se rapportent aux nouvelles formes de partenariat, au développement économique, à la gouvernance et la démocratie, à la sécurité et la stabilité, aux enjeux environnementaux, ainsi qu’aux dynamiques culturelles et sociales. Ainsi l’auteur préconise-t-il in fine des voies et moyens en vue d’un partenariat humaniste dans une approche renouvelée et mutuellement bénéfique, l’accent devant être mis sur le développement économique sur la base du gagnant-gagnant, la gouvernance démocratique, la sécurité et la stabilité régionale, la durabilité environnementale et les échanges culturels dans le cadre d’une Francophonie à géométrie non variable.

Titre : Autopsie de la présence française en Afrique
Auteur : Gaspard-Hubert Lonsi Koko
Genre : essai
Poids : 258 g
Prix : 16,90 € + 5,00 € (frais d'envoi)
Sortie : 8 janvier 2024



jeudi 11 janvier 2024

Françafrique, chronique d’une oraison funèbre

Le tout dernier essai de l’écrivain congolais Gaspard-Hubert Lonsi Koko sortira en librairie le 8 janvier 2024. Est-ce une façon pour l’orateur de livrer aux lecteurs, au moment où la France est de plus en plus en mauvaise posture en Afrique, la chronique d’une oraison funèbre ? En tout cas, dans Autopsie de la présence française en Afrique, il est question d’un discours public habilement prononcé à la mémoire d'une relation passée. Le lecteur a l’impression d’assister à l’enterrement de la Françafrique lors d’une cérémonie initiatique en vue d’une renaissance sur des bases nouvelles.
Dans cet ouvrage, Gaspard-Hubert Lonsi Koko évoque les relations personnelles entre les chefs d’État français (de Charles de Gaulle à Emmanuel Macron en passant par François Mitterrand) et leurs homologues africains. Il décline un synthétique aperçu sur les périodes coloniale et néocoloniale, sans oublier de gloser sur les intérêts de la France en Afrique. Il révèle les méthodes du gendarme français et leur finalité à travers des traits de caractère et des faits teintés d’hypocrisie. Enfin, tel un entomologiste, il s’attarde sur la raison d’un divorce aux relents d’un décès.
Ce livre, après avoir montré le chaotique passé ayant caractérisé les relations franco-africaines, éveille la conscience panafricaniste. Il trace un sillon en vue d’une Afrique mieux armée aux futures relations avec ses différents partenaires.




lundi 4 décembre 2023

Autopsie de la présence française en Afrique

La France en Afrique ? Parlons-en en toute franchise ! Que restera-t-il des relations franco-africaines ? Que des photographies, dramatiques souvenirs des tirailleurs sénégalais, de la politique d’assimilation, de l’exploitation et du pillage des ressources naturelles, du paternalisme autoritaire. Que restera-t-il de la Françafrique ? Que des assassinats politiques, des déstabilisations des États, des interventions militaires, des violations des droits fondamentaux de la personne, de l’esbroufe… Chimères. Cauchemars…
Que restera-t-il de nombreuses et belles promesses de la coopération franco-africaine, des sommets des chefs d’État francophones, des rendez-vous n’ayant abouti qu’à l’avilissement de l’Homme africain ? Espoir fané, lavage de cerveaux, humiliations, rêves insaisissables.
Et, personne n’ayant plus la patience des femmes de marins, si la politique du statu quo ante se maintenait, les relations franco-africaines se transformeraient en plus beaux souvenirs sans que l’on ne meure de chagrin. Et il y aurait d’autres partenaires sur des bases différentes de celles qui ont égoïstement et cupidement conduit au naufrage… Et les Africains adopteraient le panafricanisme comme source de fonctionnement interne, support des relations extra-continentales. Comme a su bien le dire quelqu’un, on pleurerait, suffoquerait et blêmirait quand sonnerait l’heure de se dire des adieux à jamais.

Titre : Autopsie de la présence française en Afrique
Auteur : Gaspard-Hubert Lonsi Koko
Genre : essai
Poids : 258 g
Prix : 16,90 € + 5,00 € (frais d'envoi)
Sortie : 8 janvier 2024



jeudi 19 octobre 2023

Quelle destinée pour le Congo-Kinshasa, après un si long déclin ?

Comment peut-on expliquer l’extrême pauvreté qui frappe les populations congolaises, avec un PIB par habitant de 622 USD en 2022, alors que le pays est assis sur au moins 24 000 milliards USD de ressources naturelles ? Comment peut-on avoir un taux très élevé de chômage dans un pays où les opportunités sur le plan de la création d’emplois sont immenses ? La République Démocratique du Congo a-t-elle réellement besoin de vivre éternellement de la mendicité ?
D’aucuns sont conscients du fait que l’Histoire d’une Nation ne s’appréhende pas sous le prisme du fanatisme, du tribalisme, ou pour des raisons partisanes. Cela doit se faire sur la base des faits réels ou, à défaut, de leur interprétation en toute objectivité. La Grande Histoire de la République Démocratique du Congo doit donc être abordée en toute impartialité, et non par chauvinisme individualiste ou régional.
Bref, la République Démocratique du Congo a besoin de mouvement et d’innovation, d’élan salvateur et de renouveau, de courage et de suite dans les idées. De plus, la gestion d’un pays passe obligatoirement par un véritable projet de société : à savoir des perspectives constructives. Alors, plutôt que le statu quo ante ou la régression, il faut une métamorphose en vue d’un futur glorieux et digne d’une grande locomotive d’Afrique centrale !

Titre : Quelle destinée pour le Congo-Kinshasa, après un si long déclin ?
Auteur : Gaspard-Hubert Lonsi Koko
Genre : Essai
Éditeur : L'Atelier de l'Égrégore
Pagination : 322
Poids : 376 g
Prix : 23,99 € + 6,00 € (frais de port)




Les figures marquantes de l'Afrique subsaharienne

Il est une évidence : l’histoire de l’Afrique constitue le plus gros mensonge civilisationnel des plus criminogènes qui ait existé. Elle avait été sciemment falsifiée pour des raisons économiques et culturelles, philosophiques et religieuses, dès l’exploration européenne du continent africain commencée par les Grecs anciens et les Romains.
Certes, l’histoire de l’Afrique est faite de personnalités fortes mais sangui­naires. Elles sont souvent au service des puissances extra-continentales dont les actes, meurtriers et inhumains, doivent inciter à refuser de sombrer dans l’obscuran­tisme et dans l’asservissement. Ils doivent plutôt pousser les futures généra­tions à souhaiter davantage une Afrique meilleure et plus éclairée sur les plans matériel, économique, social, spirituel, politique…
Mais l’histoire de l’Afrique est avant tout l’œuvre des personnalités excep­tionnelles dont les actions, les convictions et les principes, ainsi que les rêves, ont respectivement façonné les différentes époques dans le but de baliser le chemin qu’emprunteraient les futures générations. Gens d’armes, guerriers, conquérants, résistants à la colonisation, artistes et sportifs, mes­sianistes, prophètes et hommes d’Église, panafricanistes et acteurs politiques en vue des indépendances, intellectuels et militants révolutionnaires…, ils ont souvent connu une mort tragique, parfois moins glorieuse. Mais, passés à la postérité, ils représentent désormais des modèles auxquels doivent se référer les Africains. Leur objectif a surtout consisté à renouer avec les gloires étatiques de jadis afin de faire triompher un autre modèle de société.

Titre : Les figures marquantes de l’Afrique subsaharienne
Auteur : Gaspard-Hubert Lonsi Koko
Éditeur : L’Atelier de l’Égrégore
Pagination : 504
Poids : 581 g
Prix : 28,99 € + 7,00 € (frais de port)



Le Congo-Kinshasa en quelques lettres

Que représente stratégiquement et économiquement le Congo-Kinshasa à l’échelle locale, régionale, continentale et mondiale ? Pourquoi, depuis son accession à la souveraineté internationale, ce pays est toujours déstabilisé ? Pourquoi les étrangers s’arrangent-ils pour que cet État ne soit pas du tout dirigé par des Congolais d’origine ? Militant contre des forces centripètes et centrifuges, des Congolais essaient d’impulser un nouvel élan en vue d’une République Démocratique du Congo politiquement éclairée et économiquement viable. L’auteur de cet ouvrage est sans conteste l’un d’eux. Que pense-t-il, s’agissant de l’avenir des populations congolaises et du devenir de son pays ? Quelle vérité recèlent les mots qu’il égrène avec patriotisme ? Cherche-t-il à tracer des sillons que suivront les Congolais éveillés et les forces vives de ce géant assailli de toutes parts ? Veut-il façonner un moule dans lequel coulera en toute conscience le Congolais de demain ? A-t-on affaire à un acteur politique habile et avisé, condottiere pétri d’ambition constructive ? Forban de la politique ou fin stratège ? Quelle part jouera-t-il dans la IVe République d’un pays qui a forcément besoin d’un véritable homme, ou une femme, d’État en vue de l’ancrage à jamais dans le troisième millénaire ?

Titre : Le Congo-Kinshasa en quelques lettres
Auteur : Gaspard-Hubert Lonsi Koko
Éditeur : L’Atelier de l’Égrégore
Pagination : 194
Poids : 209 g
Prix : 16,60 € + 5,00 € (frais d'envoi)



Mais quelle crédibilité pour les Nations Unies au Kivu ?

Conseil d’insécurité pour les faibles, ou syndicat des nations les plus puissantes ? En tout cas, beaucoup de rapports de l’Organisation des Nations Unies sont catégoriques. Les crimes commis dans la région du Kivu, en présence des mili­taires de la Monusco, pourraient officiellement constituer une assise solide en vue des poursuites devant la Cour pénale internationale (CPI).
La déstabilisation de la partie orientale de la République Démocratique du Congo relèverait-elle d’une guerre économique, que l’on ne souhaiterait surtout pas assumer publique­ment ? S’agirait-il d’une sorte de recolonisation que l’on n’oserait pas reconnaître comme telle ? Le colonialisme serait-il de retour, sous d’autres aspects et dans des habits tout neufs ? Serait-il tout simplement question d’occupation ? Est-on en train d’assister, s’agissant de l’exploitation des enfants dans les mines du Kivu et des violences sexuelles, à une nouvelle forme d’esclavage ? Dans l’affirmative, pourrait-on évoquer l’irresponsabilité des Congolais, en particulier, et la complicité des Africains, en général, au même titre que celles de quelques-uns de leurs aînés durant la traite négrière ?
La tentative de balkanisation de la République Démocratique du Congo ne pour­rait qu’inciter plus d’un observateur à s’interroger sérieusement sur le véritable rôle, voire l’efficacité, des troupes onusiennes dans la région des Grands Lacs africains. Pour éviter la transformation du Kivu et de l’Ituri en une zone de non-droit, où tout le monde pourrait se procurer les minerais de sang à moindres frais, l’autorité de l’État congolais devrait être rétablie dans le plus court délai sur l’ensemble du territoire national.

Titre : Mais quelle crédibilité pour les Nations Unies au Kivu ?
Auteur : Gaspard-Hubert Lonsi Koko
Éditeur : L’Atelier de l’Égrégore
Pagination : 268
Poids : 281 g
Prix : 20,10 € + 5,00 € (frais d'envoi)



La conscience bantoue

Les enjeux fonciers et miniers sont considérables, surtout dans la région des Grands Lacs. Au moment où des forces négatives, vraisemblablement continentales mais bénéficiant du soutien invisible des puissances extracontinentales, excellent en Afrique subsaharienne en vue de la balkanisation d’un bon nombre d’États bantouphones, les réactions patriotiques s’avèrent plus que jamais appropriées. En effet, la gravité de la situation nécessite une prise de conscience commune et une coalition interétatique. Celles-ci ne pourraient qu’être salutaires.
La conscience étant la perception chez l’Homme de sa propre existence et du monde qui l’entoure, un peuple qui ignore d’où il vient ne saura jamais où il va. Un peuple qui fait fi de son passé aura beaucoup de mal à maîtriser son présent. Un peuple qui méprise son Histoire sera incapable d’orienter son avenir sur des bases objectives et solides. Un peuple amnésique restera toujours crédule. Ayant été commercialisées, exportées comme des marchandises, réduites en esclavage, colonisées, les populations bantoues en Afrique et à travers le monde doivent enfin prendre conscience que la malédiction de Canaan, ce fils de Cham, n’est qu’une pure invention pour justifier à dessein leur infériorité intellectuelle et leur dépendance vis-à-vis d’une quelconque civilisation naturellement prédatrice.
C’est en montant sur les épaules de Soundiata Keïta et de Chaka Zulu que les Bantous et leurs descendants resteraient à jamais libres. C’est en s’inspirant de Kimpa Vita et de mbuya Nehanda Charwe Nyakasikana, ainsi que de Manthatisi, qu’ils se feront respecter. C’est en ayant comme modèles les prophètes Simon Kimbangu, André Matsoua et William Wade Harris qu’ils deviendront spirituellement affranchis. C’est en prenant exemple sur Patrice Lumumba et Nelson Mandela, animés d’une vision tout à fait panafricaniste, qu’ils resteront enfin libres et réellement indépendants.

Titre : La conscience bantoue
Auteur : Gaspard-Hubert Lonsi Koko
Éditeur : L’Atelier de l’Égrégore
Pagination : 166
Poids : 200 g
Prix : 15,10 € + 5,00 € (frais d'envoi)



Le regard africain sur l'Europe

Aujourd’hui, l’Europe et l’Afrique peuvent-elles envisager une nouvelle relation sur des bases saines ? Peut-on changer leur rapport, en ayant à l’esprit l’immigration et le co-développement ? S’agissant de la France, oserait-on encourager la suppression de la cellule africaine de l’Élysée au profit de l’intervention parlementaire en amont dans certaines missions, notamment les actions militaires dans les pays du « pré carré » ? S’agissant de l’Union européenne, doit-elle systématiquement financer l’Union africaine dans le but de maintenir ses États membres dans la dépendance ?
Multilatéralisme ou bilatéralisme dans les relations entre les pays africains et ceux d’Europe ? Aurait-on enfin l’intelligence, compte tenu du poids colonial, de dépasser le paternalisme et le bilatéralisme pour mettre l’être humain au cœur de la politique africaine de l’Europe ? Que faire pour que le destin commun profite réellement aux peuples ? Comment les jeunes Africains perçoivent-ils l’avenir de leur continent ? Le panafricanisme, est-ce une voie à développer à tout prix ? Transfert de techniques et de technologie, en échange des matières premières et d’autres marchés ? Assistance matérielle ou aide financière ? Exigence de la protection du bassin du Congo, en contrepartie d’une contribution à l’éducation et à la santé ? Alignement des monnaies africaines, pourquoi pas de la monnaie unique africaine, sur la valeur des ressources naturelles, et non sur le dollar américain, ni sur l’euro ? Indexation automatique du franc CFA sur les critères de la Banque de France, ou alors dépendance ou non à la Banque centrale européenne ? Retrait des troupes militaires étrangères du territoire africain ?
Voilà les questions dont les réponses permettront de sortir, en principe, des rapports dominants-dominés, d’envisager des relations responsables, respectueuses, justes, pérennes et davantage constructives entre les deux continents.

Titre : Le regard africain sur l’Europe
Auteur : Gaspard-Hubert Lonsi Koko
Éditeur : L’Atelier de l’Égrégore
Pagination : 238
Poids : 281 g
Prix : 17,99 € + 5,00 (frais d'envoi)



Et alors, mon maréchalchal ?

Il est tout à fait inconcevable, du moins pour l’observateur averti, de vouloir mieux préparer le futur et maîtriser le présent sans connaître le passé. Les trente-deux années, qui ont émaillé la présidence du maréchal Mobutu Sese Seko, ont fatalement été à l’origine d’immenses difficultés auxquelles est confrontée, à n’en pas douter, la République Démocratique du Congo. Ainsi l’auteur interpelle-t-il, à travers un dialogue d’outre-tombe, l’homme à la toque en peau de léopard dans le cadre du bilan du mobutisme. Ce mystérieux acte d’exorcisme politique est indispensable, dans la conception bantoue, à la meilleure compréhension de toute problématique. Il constitue la thérapeutique idoine dans l’optique d’un Congo sécuritairement pacifié, socialement vivable, économiquement prospère et politiquement démocratique.
Puisse le parcours du président-maréchal servir de contre-modèle aux futures générations de femmes et d’hommes d’État africains.
Que cette longue expérience politique puisse donner du grain à moudre aux laboratoires d’idées et institutions politiques, quant aux éventuelles erreurs à proscrire dans la gestion de la chose publique et en matière de développement d’une nation. Puisse, enfin, les acteurs politiques congolais prendre conscience du défi à relever dans l’orientation de leur pays vers un avenir humaniste et davantage meilleur.

Titre : Et alors, mon maréchal ?
Auteur : Gaspard-Hubert Lonsi Koko
Genre : essai
Pagination : 342
Poids : 399 g
Prix : 23,99 € + 6,00 € (frais d'envoi)